jeudi, 15 novembre 2007

Hugo Chavez et un petit conflit


Bon, Hugo Chavez a relancé la discussion. Cette fois ci il s'agit d'un encontre avec les présidents de l'Amérique Latine et le premier ministre de l'Espagne, José Luis Zapatero. Selon le Temps, le président vénézuélien a attaqué non seulement le premier ministre espagnol, mais aussi le roi et les chefs d'entreprises, en les accusant d'avoir commis l'un des plus grands génocides: la conquête espagnole en Amérique Latine.
Hugo Chavez ne se contentera pas de ces reproches, car ceux ci arrivent jusqu'au juger le gouvernement espagnol de "fasciste" pour avoir soutenu George Bush au moment de la guerre en Irak.
Résultat: "pour quoi tu ne te tais pas?", a dit le roi espagnol Juan Carlos qui sortira de la salle et ne reviendra qu'à l'aide et l'intervention de Michelle Bachelet (présidente de Chili).
Jugez vous, un conflit personnel des politiciens qui ne supportent pas les commentaires, un vrai délire ou juste un conflit?

lundi, 12 novembre 2007

Le conflit de la semaine


J'aimerais parler maintenant de quelque chose que je connais un peu mieux. Notamment les conflits en Amérique Latine. Ce n'est pas parce que je sois historienne que je connais la situation en Amérique Latine. Eh bien, moi même je suis une latine, plus précisément mexicaine. Cela ne veut pas dire que je connais par cœur et non plus que je comprend les problèmes de chaque pays dans cette région, mais je suis un peu sensibilisée par ces conflits.

Alors, résistons maintenant un peu de mauvais français mais avec beaucoup de passion sur le sujet. Dorénavant je voudrais donc discuter les conflits en Amérique Latine depuis quelques années, notamment avant les dictatures et donc le fameux Che que vous connaissez tous et si ce n'est pas le cas, il vaut mieux que vous ne le dîtes pas.

Le conflit de Turquie en éclairages


Bon, pour finir la discussion de la semaine dernière, dans le Temps du Lundi 12 novembre 2007 il a paru dans les Éclairages une discussion sur la démocratie en Turquie. Le sujet fait donc rappel à ce type de démocratie des pays en voies de développement dont ce mot n'est qu'un système mal appliqué pour les populations et les économies locales. À ceci s'ajoute en l'occurrence, l'aspect religieuse, dont le problème dépasse la simple application d'un système, mais arrive jusqu'aux croyances millénaires des gens.
"Ma fille n'a pas le droit de porter le foulard à l'université, elle pourrait y entrer quelles que soient ses convictions" (Faris Kaya, interviewé par le Temps)
Même si les nouvelles convictions veulent la liberté pour les femmes et l'égalité des opportunités au moment d'étudier ou de travailler, l'aspect de religion pose un problème parce qu'il n'est pas ou il est peu toléré par ceux qui défendent ces convictions, à titre justifié.
Un conflit entre la religion et les idées libérales se pose sur la sphère politique et donc sur les systèmes de pouvoir.